jeudi 31 janvier 2013

jeudi 31 janvier (à finir...)

Ecriture Lecture Cuissart: étape 37 jusqu'à Corse: explication du vocabulaire.


Écriture: sur le cahier du jour: n, N, Namibie (nous avons appris à faire le N, M et A qui sont sur la même base (une oblique suivie d'une verticale, voir la frise du jour ci-dessous)
Copie/dictée : sur le cahier du jour:




Analyse de la phrase: le joli petit canari de la gamine vole vite selon le procédé habituel.


 Préparation de la dictée suivante: sa mère lui a donné le canif garni de cuir par papa.
Géographie: nous situons les lieux et régions vus dans la leçon de lecture sur nos cartes murales.

Leçons de choses: des fleurs commencent à apparaître sur notre branche...  Dans notre classe, où il fait suffisamment chaud, lumineux, elle se croit au printemps, alors que dehors c'est l'hiver!




Calcul Bertin: sur le cahier du jour: calculs en ligne
Sur l'ardoise: suite de la leçon du nombre 16, table du nombre de fois 2 jusqu'à 8F2 font 16
Connaître cette table, c'est facile quand on sait compter de 2 en 2...

calcul Bertin le nombre 16 (suite)
calcul sur le cahier du jour.

Feuilleton d'Hermès: épisode 61

Dessin: 2 dessins Dessinetto (robot et hélicoptère) sur l'ardoise. la maîtresse fait nommé chaque figure géométrique (carré, rectangle, ligne oblique, horizontale, verticale, demi-cercle, losange, ovale...)



1er cahier du jour (fin septembre à fin janvier)

Ci-dessous, un (bien joli) cahier du jour, soigné qui va du 28 septembre au 28 janvier.

Le contenu: 

  • Une frise quotidienne pour aider à se repérer dans le lignage du cahier, améliorer la précision du tracé, du coloriage.
  • Exercice d'écriture: qui sert de vérification de l'apprentissage de chaque lettre en  parallèle avec la leçon Cuissart (écriture/lecture).
Un travail préalable d'apprentissage du tracé des lettres a été fait exclusivement sur l'ardoise pendant les premières semaines (environ 6 ou 8  lettres déjà apprises).

  • Puis s'ajoute petit à petit:
- des copies,
- des dictées quotidiennes,
- un peu de calcul
- d'analyse grammaticale.
























Apprendre à lire...


De la lecture

Texte écrit par JPP pour le site de l'association Transmaître

Lorsqu'on envisage l'apprentissage de la lecture, il faut se placer dans une démarche globale de découverte de la langue française dans toutes ses dimensions. Un enseignement convenablement conduit, selon un schéma clair et avec des maîtres bien formés, doit amener l'ensemble d'une classe d'âge à maîtriser toutes les règles grammaticales et orthographiques qui gouvernent notre langue. Cette maîtrise peut (et devrait) être définitivement accomplie en une dizaine d'années (autrement dit dès la sortie du collège).
La grande section et le cours préparatoire constituent en quelque sorte les fondations de ce programme décennal que tous les enseignants qui se succèdent au chevet d'un élève gagneraient à connaître dans ses différentes parties. Idéalement, l'ensemble de la chaîne pédagogique d'un réseau scolaire devrait s'atteler à une mise en cohérence du vocabulaire technique (particulièrement en grammaire et en arithmétique), à l'établissement d'un programme annuel/mensuel/hebdomadaire détaillé ainsi qu'à une articulation harmonieuse du plan de travail lors des passages d'une année à la suivante.

L'ÉCRITURE / LA LECTURE
Au sens littéral, la lecture consiste à prononcer en syllabes des signes conventionnels utilisant l'alphabet. Auparavant ces signes eux-mêmes ont été tracés ou dactylographiés pour indiquer, grâce aux combinaisons usuelles des lettres, les sonorités émises en parlant.
— Les exercices de lecture doivent donc être précédés et accompagnés d'exercices destinés à assurer une prononciation correcte des formes vocales. À cinq ou six ans l'enfant, n'est pas toujours en mesure de bien prononcer les mots, et son oreille ne sait pas encore démêler les divers sons dont ils se composent. On y parvient en l'interrogeant sur des choses familières, représentées autant que possible par des images que l'on place sous ses yeux à chaque nouveau son étudié.
— Les exercices d'écriture doivent commencer par les éléments les plus simples pour amener peu à peu l'enfant à reproduire les lettres dans leur tracé cursif, minuscule d'abord, majuscule ensuite. En même temps qu'on exerce l'oreille, on doit fortifier la main de l'élève par des exercices gradués et habituer son œil à suivre et analyser les traits qu'il doit reproduire. Que ce soit à l'aide d'un crayon ou par l'intermédiaire d'un clavier, la transcription de la parole par l'écriture passe toujours par l'intervention de la main qui juxtapose une à une les lettres, dans un ordre déterminé.

DE L'ÉCRITURE, DE LA LECTURE ET BIEN DAVANTAGE...
L'apprentissage démarre par la découverte des premières associations consonne/voyelle et par la composition de quelques blocs syllabiques de base. Ces blocs élémentaires se combinent entre eux pour former des mots (n/i—>ni, m/u—>mu, mu-ni—>muni). Ils seront enrichis chaque jour. Cette étape fondamentale doit être conduite en prenant tout le temps nécessaire ; elle permet déjà d'écrire et de lire un nombre significatif de mots simples. Grâce aux exercices réguliers de copie/dictée, en correspondance directe avec les leçons d'écriture et de lecture, l'enfant apprend progressivement à écrire des syllabes, des mots, des phrases ; il apprend aussi à se (re)lire et à corriger ses erreurs.
Dans un processus de maturation identique mais beaucoup plus lent, l'écriture s'automatisera elle aussi. Après quelques mois l'élève pourra commencer à rédiger de petits textes très courts. Mais il faudra encore bien des années avant que l'écolier/collégien, devenu lycéen puis étudiant, s'approprie véritablement les subtilités rhétoriques et les codes de l'écriture. Il saura alors développer, clarifier et exposer sa propre pensée.
Dès la rentrée, l'apprentissage de l'écriture/lecture s'intègre à un ensemble de connaissances. Au fil des journées, l'instituteur du cours préparatoire est tel un architecte qui doit combiner la lecture proprement dite (syllabation, épellation, déchiffrage...) avec des leçons de choses (pour l'enrichissement du vocabulaire), des leçons de grammaire (pour la bonne compréhension du sens des phrases), des exercices divers de langage, des éléments de dessin, des notions de calcul et de géographie… Ces différentes activités créent une variété d'approches et une synergie au service de l'apprentissage de la lecture.

DU DÉCHIFFRAGE LABORIEUX À LA LECTURE EXPRESSIVE
— Dans les toutes premières semaines d'apprentissage, l'élève ne devrait donc lire que ce qu'il sait écrire. La lecture (systématiquement effectuée à voix haute) consiste provisoirement en un déchiffrage lent, guidé par l'index, plus ou moins scandé (et cependant chaque jour mieux assuré que la veille) qui permet de redonner aux mots leur forme vocale et d'en comprendre immédiatement le sens (pour autant que le vocabulaire soit préalablement connu du lecteur).
— L'étape suivante résulte de l'entraînement quotidien. Elle consiste chez le lecteur novice à automatiser sa reconnaissance des mots et à éviter ainsi l'effort du déchiffrage. L'élève lit couramment, sans son doigt ; sa lecture devient rapide et fluide, quasiment sans effort de réflexion pour déchiffrer.
— Enfin l'enfant lit sans la moindre hésitation, avec une intonation expressive ; sa diction est inspirée directement du sens de l'énoncé. La lecture peut être silencieuse.
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EN BREF
Une bonne méthode de lecture doit :
— S'appuyer sur la structure alphabétique de la langue et préconiser la lecture à voix haute. Elle doit également lier le plus possible écriture et lecture pour apprendre simultanément à lire ET à écrire.
— Être "méthodique" ; c'est à dire proposer un cheminement réfléchi jusque dans le détail ; ne pas aller trop vite dans les premières étapes afin d'assurer de solides bases. Son champ d'application ne débordera pas du cours préparatoire ; l'idéal étant un apprentissage réparti sur GS/CP (avec la même méthode évidemment).
— Mettre en confiance l'instituteur (ou le parent) qui l'adopte en garantissant un pourcentage de réussite proche de 95 % (il demeurera toujours les vrais dyslexiques...). Le procédé utilisé doit s'appuyer sur un minimum d'effort pour un résultat maximum.
— Être "légère" (pas de livre du maître aussi copieux qu'indigeste) tout en proposant la découverte de tous les phonèmes de la langue, sans exception. Aucun mot non lisible par l'enfant ne sera jamais offert à la lecture.
— Être économique à l'usage (ce qui signifie une reliure robuste, un papier une impression de bonne qualité afin que le livre résiste plusieurs années)
Enfin, le manuel d'apprentissage choisi et retenu (après fine analyse comparative) sera celui qui convient le mieux à l'instituteur. Celui-ci suivra scrupuleusement les conseils d'utilisation et se formera sérieusement si cela est nécessaire.
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POUR BIEN TRAVAILLER
Il faut toujours conserver à l'esprit le rôle déterminant du bien-être et de la dimension affective dans une relation d'apprentissage.
 — La reconnaissance de l'expertise de l'enseignant passe par l'établissement d'un climat de confiance réciproque avec ses élèves et avec les familles. Des relations sereines avec l'institution (hiérarchie, collègues) sont également nécessaires afin de bénéficier, au minimum, d'une bienveillance professionnelle.
 — La motivation des élèves est fondamentale ; l'enseignant se doit d'expliquer et de détailler régulièrement les étapes du parcours d'apprentissage. En particulier lorsqu'il s'agit d'aider les élèves les plus fragiles.
 — Convaincu de la pertinence de ses choix, l'instituteur ne craint pas le débat ; il ne cherche pas non plus la polémique stérile et s'abstient donc de critiquer toute pratique qui n'est pas la sienne.

Texte consultable ci-dessous:
http://ecole-neris-cp2012.blogspot.fr/2013/01/de-la-lecture.html

A télécharger en PDF

lundi 28 janvier 2013

Semaine 17: vendredi 25 janvier

  • Écriture-lecture Cuissartrévision étape n° 34 Récapitulation.
  • Lecture collective de l'étape 35 jusqu'à "récolté", explication du vocabulaire, chaque élève lit une phrase de la leçon, et réponds aux questions de la maîtresse et épelle un mot en utilisant le nom des lettres de l'alphabet.


écriture : sur le cahier du jour: 3 lignes de "r, R, René, Rémi",
 
Pour tracer un "r" majuscule: Qui sait faire un "P et un B" sait faire le "r" majuscule, il suffit de terminer par le même geste que la fin du "r" minuscule une fois qu'on a touché la verticale de la "canne de parapluie".


  • Copie: sur le cahier du jour: odile ira à la mer avec le colonel... la locomotive a dépassé le tunnel. (explication du vocabulaire)
  • Dictée:: "le colonel malade a dîné d'une salade; nicole lui a donné du miel." 
  • Grammaire: rappel: les noms propres prennent une majuscule que  nous ajouterons systématiquement au fur et à mesure de notre apprentissage des majuscules. 
  • Ex1: Que ne devons-nous pas oublié au début de chaque phrase?...Les élèves répondent: "...La majuscule car une phrase commence toujours par une majuscule!" mais on ne sait pas encore écrire le "l" majuscule, donc on ne peut pas encore l'écrire. "nicole" est un nom propre de fille, il doit commencer par une majuscule que nous écrirons systématiquement dès que nous aurons appris à dessiner le "n" majuscule.
  • rappel: une phrase se termine toujours par un point. (Ce point peut être surmonté d'un trait vertical (!) pour nous indiquer qu'il faut s'exclamer, ou d'un trait vertical commençant par une courbe (?) pour nous indiquer qu'il faut prendre le ton qui pose une question, une interrogation (déjà vu grâce à notre livre Delile).
  • Rappel: le mot "a" est le verbe "avoir". Il aide le verbe "dépasser" à se conjuguer au passé composé (parce qu'il est composé de deux mots). C'est la raison pour laquelle on dit qu'ici le verbe avoir est l'auxilliaire (celui qui aide) du verbe dépasser.
 

  •  Lecture Delile : Lecture individuelle: selon l'avancement de chacun (1/2 classe).
  • arithmétique Bertin : le nombre 15  (fin). 
  • Calcul sur l'ardoise: Avec le boulier trouver un total de 15 en additionnant 3 nombres (il s'agit de ranger 15 livres sur 3 étagères)
  • Puis résolution de problèmes:
 
 La première série de problème est difficile, car il s'agit de trouver combien on gagne lorsqu'on vend un objet après l'avoir acheté un autre prix. Afin d'aider les élèves à comprendre, la maîtresse montre au tableau que ce qu'on cherche c'est la différence entre l'argent nécessaire à acheter l'objet et le prix auquel on l'a vendu à quelqu'un d'autre. Plusieurs manipulations et mimes de la situation sont nécessaires. Il faudra d'ailleurs le refaire encore bien des fois avant que cela soit compris par tous les élèves. l'important c'est surtout que les élèves soient confrontés à ce genre de situation afin qu'ils se familiarisent avec elle.

le même problème est proposé sous deux autres formes différentes:
-à quel prix doit-on vendre pour gagner une quantité d'argent précise: 2€
-A quel prix ai-je acheté un objet si je l'ai acheté à un prix et gagné 2€ à la fin?
C'est aussi la présentation sous les trois aspects qui permettra d'aider à la compréhension.
en montrant les deux sommes d'argent, les élèves peuvent constater que la différence entre 13€ et 15€ c'est 2€. Cela s'écrit: 15€-13€=2€
 
 


Révision de la numération de position.
  • leçon de chose : (suite à la leçon Cuissart) L'écorce des arbres. Elle est là pour protéger le bois de la même manière que notre peau protège notre chair.
  • La maîtresse montre différentes sortent d'écorces: celle du chêne-liège qui est très épaisse et rugueuse, dont on se sert pour faire notamment les bouchons de bouteilles de vin, l'écorce d'érable qui est très fine en comparaison, ainsi qu'un morceau d'écorce (arbre indéterminé) d'épaisseur intermédiaire.
  • La maîtresse montre aussi une "rondelle" de sapin qui montre comment le bois du tronc d'arbre est entouré d'écorce. C'est l'occasion de parler du bûcheron, de son métier et de ses outils (hache, scie)
  • En cas de blessure (coup de hache, foudre, gel qui fera se fendre le bois), l'écorce est capable de cicatriser, comme notre peau cicatrise après avoir été égratignée.


  • Suite à la leçon Cuissart et le mot "alcôve", la maîtresse explique ce qu'est un plan (c'est une vue d'en haut, comme si on voyait d'un avion ce qui est en-dessous). C'est l'occasion de montrer qu'on peut facilement faire le plan de la classe en imaginant qu'une feuille blanche est la reproduction du sol de notre classe et qu'on ne dessine dessus que la trace des meubles dont on veut garder la position.
  • Pour commencer: la maîtresse commence par disposer des objets sur une feuille blanche et en dessine les contours pour garder la trace de leur place sur la feuille. Elle retire les objets, Les élèves ne voient donc plus que les contours des objets: c'est le plan des objets sur la feuille. C'est très pratique, car il est alors très facile de remettre les objets tels qu'ils étaient auparavant, même si on n'a pas de mémoire. C'est la silhouette des objets qui nous permet de retrouver leur place sur la feuille. Pour le plan de la classe, le principe est le même, mais on obtient la silhouette des meubles de la classe en s'imaginant voler au-dessus de notre classe comme si le plafond en avait disparu. La maîtresse indique que sur un plan on n'indique le plus souvent que la place des meubles (certains élèves voulaient dessiner les cartables, les gommes...). Nous procèderons une prochaine fois au plan d'un des bureau de la classe avec les objets qui sont dessus.
 
  • Nous revoyons les organes internes de notre corps: les poumons qui nous permettent de respirer, le cœur qui pompe le sang pour l'envoyer dans tout notre corps, le foie qui enlève de ce que nous mangeons ce qui est toxique, l'estomac qui réduit les aliments que nous mangeons en petits morceaux, les intestins qui servent à digérer les aliments (les réduire en si petits morceaux que le sang peut ensuite les transporter partout dans notre corps, là où c'est nécessaire), enfin le gros côlon qui expulsera les déchets par l'anus.
  • dessin :  sur le cahier du jour: 1 frise (voir photo ci-dessus): succession de losanges et de triangles (nous revoyons la notion de sommet, côté, angle d'une figure).
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Devoirs pour lundi 28 décembre:
Cuissart: étape  35-1§.
Delile: page en cours.
Dictée:  le colonel malade a dîné d'une salade; nicole lui a donné du miel.

dimanche 27 janvier 2013

Hugo et les Rois Être et Avoir ... pour accorder les participes passés sans se tromper...

Hugo et les Rois Être et Avoir. (cliquez sur le titre pour voir une vidéo de présentation).


À partir de 8 ans
Ou comment accorder les participes passés sans se tromper !
Voici l'histoire d'une victoire heureuse et définitive. Les règles de l'accord du participe passé sont compliquées, mais Hugo apprend à les maîtriser. Une fée lui explique tout, avec des mots de tous les jours, et des dessins. Il s'en souviendra toute sa vie.
Comme Hugo, votre enfant progressera vite.

La fée nous fait rencontrer le gentil roi ÊTRE, préoccupé de ses sujets et facile à vivre. Puis elle nous dévoile les moyens de surmonter les pièges tendus par le méchant roi AVOIR. Elle nous montre aussi qu'en cas de bataille c'est le roi gentil qui gagne
(" Les chasseurs ont été poursuivis par les gorilles " : ÊTRE et AVOIR sont là ; qui a gagné?).

Enfin, elle nous apprend comment démasquer le roi AVOIR, l'usurpateur caché dans les habits de ÊTRE, dans les phrases comme : " Elles se sont parlé à voix basse et se sont dit qu'il fallait partir " ; " La girafe s'est acheté un peigne avant la fête de la savane " ; " Les rois fainéants se sont succédé " ...

(issu du site du Dictionnaire Robert)

Semaine 17: jeudi 24 janvier

  • Écriture-lecture Cuissartrévision étape n° 33 Récapitulation.
  • Lecture collective de l'étape 34, explication du vocabulaire, chaque élève lit une phrase de la leçon, et réponds aux questions de la maîtresse et épelle un mot en utilisant le nom des lettres de l'alphabet.


écriture : sur le cahier du jour: 3 lignes de "r, R, René, Rémi",
Pour tracer un "r" majuscule: Qui sait faire un "P et un B" sait faire le "r" majuscule, il suffit de terminer par le même geste que la fin du "r" minuscule une fois qu'on a touché la verticale de la "canne de parapluie".


  • Copie: sur le cahier du jour: le colonel a dîné d'une salade avec du sel. Rémi lui fera du caramel. (explication du vocabulaire)
  • DIctée: "odile a reçu du colonel le petit canari; le canari vole vite." 
  • Grammaire: rappel: les noms propres prennent une majuscule que  nous ajouterons systématiquement au fur et à mesure de notre apprentissage des majuscules. 
  • Ex1: Que ne devons-nous pas oublié au début de chaque phrase?...Les élèves répondent: "...La majuscule car une phrase commence toujours par une majuscule!"
  • Ex2: (issue de la copie de ce jour): Pourquoi peut-on dire que Rémi mérite DEUX fois une majuscule?
  • Réponse des élèves: 3D'abord parce que Rémi est le nom propre du petit garçon, et aussi parce qu'il est au début de la phrase."
 

  • arithmétique Bertin : le nombre 15  (suite). 
  • Calcul sur le cahier du jour: les 2 premières colonnes ainsi que la première ligne d'exercice (compter de 2 en 2, de 3 en 3...)

Révision de la numération de position: nom des dizaines
ex: 20, c'est 2 paquets de 10 unités qu'on appellent dizaines, 
20 qu'on note 2d , 2 dizaines, c'est 10 + 10, qu'on peut aussi écrire 2F10.
Et ainsi de suite jusqu'à 60.


la maîtresse a déjà évoqué la centaine: comme pour les unités qu'on groupe en dizaine dès qu'on en a dix, il se passe la même chose pour les dizaines, dès qu'on en a 10 dizaines, on va les grouper pour en faire un paquet nommé centaine. Une centaine contient 100 unités (dans centaine on entend "cent").
La dizaine est une unité collective d'ordre supérieur à l'unité simple, et la centaine est une nouvelle unité collective d'ordre supérieure à la dizaine. (sans insister).
La maîtresse dessine 3 fils (le fil des unités à droite, puis celui des dizaines à gauche, et celui des centaines à gauche de celui des dizaines). La maîtresse rappelle que la place des chiffres sur chaque fil nous indique quel groupement il représente, ainsi les chiffres se suffisent à eux-même tant que les fils sont là. C'est ainsi qu'il suffit de voir le chiffre 1 sur le fil des dizaines pour savoir qu'il représente dix unités. En revanche si on supprime les fils, c'est alors qu'il est nécessaire de montrer l'absence d'unité simple en écrivant le chiffre zéro à droite du 1 (10), c'est la seule manière de rendre évidente la place du 1 comme chiffre des dizaines (en l'absence des fils) et donc le nombre d'unités qu'il représente (ici dix unités simples).

La maîtresse note le nombre 111 en utilisant les fils. Les élèves disent ce que chaque chiffre 1 représente: 1 centaine pour le premier chiffre, 1 dizaine pour le deuxième et 1 unité pour le dernier. Donc le premier 1 vaut 100 unités, le second vaut 10 et le dernier vaut 1, ce qui nous donne 111 lorsqu'on ajoute les trois quantités.
même exercice avec 327 etc...



  •  vocabulaire :  Episode 58 du Feuilleton d'Hermès. Plus de détail sur le blog consacré à Hermès.
  • leçon de chose :  les masses marquées: elle servent à mesurer la masse, ce que pèse les choses. (suite à notre leçon Cuissart). 


  • Nous pesons une règle: Nous commençons par utiliser les masses marquées les plus lourdes pour faciliter la recherche de la masse: Tant que la masse est plus lourde que la règle, il faut utiliser une masse marquée plus légère. Après avoir éliminé les masses de 1kg (c'est à dire un paquet de 1000g), de 500g (la moitié de 1000g), de 200g (2 fois 100g), de 100g (c'est 10 fois 10g), de 50g (5fois 10 g), nous voyons que la masse de 20g est insuffisante. La maîtresse rajoute 10g, ce qui fait 30g en tout, qui reste encore insuffisante. Elle rajoute une masse de 5g et enfin l'équilibre des deux plateaux est atteint. Donc la règle pèse 20g+10g+5g soit 35g.

  •  Nous revoyons les organes internes de notre corps: les poumons qui nous permettent de respirer, le cœur qui pompe le sang pour l'envoyer dans tout notre corps, le foie qui enlève de ce que nous mangeons ce qui est toxique, l'estomac qui réduit les aliments que nous mangeons en petits morceaux, les intestins qui servent à digérer les aliments (les réduire en si petits morceaux que le sang peut ensuite les transporter partout dans notre corps, là où c'est nécessaire), enfin le gros côlon qui expulsera les déchets par l'anus.
  • La maîtresse montre le cheminement de la nourriture depuis la bouche jusqu'à l'anus. La maîtresse y reviendra régulièrement pour fixer les différentes étapes du cheminement des aliments et rappeler simplement la fonction de chaque organe.
Un mannequin bien utile dont tous les organes sont amovibles.
Nous pouvons voir l'intérieur du cœur,  ainsi que l'intérieur des poumons munis de bronches.
Un élève a amené un livre sur le corps humain qui permet de compléter ce que la maîtresse à montrer.
  • dessin :  sur le cahier du jour: 1 frise (voir photo ci-dessus)
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Devoirs pour mardi 22 décembre:
Cuissart: étape  34 entière.
Delile: page en cours.